Tique VS Baïka
Beurk eurk eurk première tique pour elle, première extraction pour nous.
Juste sous le collier pas loin des oreilles. Une petite chose brun foncé avec des pattes : une tique. Normal, c’est le printemps, et il arrive à Baïka de courrir dans les hautes herbes. Quoi de plus appétissant que la douce chaleur d’un chiot pour cette saleté d’acarien !
On essaie de tenir Baïka tranquille mais elle a la bougeotte. Au bout de 20 minutes elle commence à s’endormir sur nos genoux… Hop on prend la pince, on fauche et on tourne la tique jusqu’à ce qu’elle lache, une fois enlevée on la noie d’alcool et on désinfecte la plaie. Tique vaincue par KO technique !
Beurk eurk c’est fait, c’est passé, c’est fini.
Heureusement que nous avions examiné le pelage de Baïka, utilisé du frontline quelques jours auparavant et enlevé la bestiole avec les précautions d’usage, car les tiques peuvent transmettre des maladies. Une bonne astuce est de profiter de brosser le chien en revenant de balade « à risque », pendant que la tique n’est pas encore fixée mais se promène dans les poils.
Mais ils sont fous ! Ils photographient une tique !
Pour notre première extraction nous avions du mal à voir à l’oeil nu que la tique retirée était bien entière. Laisser la tête créé une infection et un kyste, autant vérifier ! Merci option macro de l’appareil photo pour nous y avoir aidé !
