Depuis que Baïka est là, nous nous efforçons de la manipuler régulièrement : les pattes, la queue, les oreilles, la gueule… et également de laisser d’autres personnes le faire (amis, éducatrice, vétérinaire). En effet, on nous a tout de suite dit qu’il était important que le chien une fois grand, puisse se laisser manipuler aisément en cas de besoin que ce soit pour sa sécurité, pour sa santé ou son entretien quotidien.
Aujourd’hui, nous avons décidé de la confier pour la première fois à une toiletteuse inconnue qui prendra soins d’elle en notre absence. Au passage, rappelons que l’éleveuse de Baïka pratique également ce métier !
Prendre RDV fut chose facile mais nous avions la crainte de faire confiance aveuglément à une personne inconnue : et si la toiletteuse marquait négativement le chiot sans prendre de précautions ? Et puis finalement, en parlant avec cette personne par téléphone nous avons compris qu’elle connaissait parfaitement son métier et les particularités des différentes races. Spontannément, elle nous a donné des conseils d’éducation positive et expliqué qu’elle prenait des mesures particulières lorsqu’il s’agissait de chiots. Un toiletteur a tout bénéfice que cela se passe bien. Nous voilà rassurés…
Nous avons donc amené Baïka à 13h au salon et l’avons récupérée peu après 15h. La patronne nous a accueilli et a fait plein de caresses à Baïka. Elle était d’accord avec nous : Baïka n’avait pas particulièrement besoin d’un toilettage, mais cela avait de la valeur pour l’expérience positive.
Baïka a eu droit à : shampoing, après-shampoing, brushing, coupe (griffes, extra de poils sous les pattes etc). Les changements sont subtiles et elle a un poil plus doux qui sent la noix de coco.
Et voilà, la fenêtre de socialisation se ferme gentiment sur ce petit tour chez le toiletteur, Baïka est toute belle et toute fatiguée, mais a un bon petit bagage de socialisation pour être équilibrée.